L’enfance de l’art
Baigné dès son plus jeune âge dans le monde de l’Art contemporain avec son père Roger MAZARGUIL, célèbre collectionneur et mécène de nombreux artistes dont Daniel BUREN, Lawrence WEINER, MAZAR se passionne très tôt pour les images. Il assiste Sol LEWITT lors de ses premières expos (Centre Pompidou/ Galerie Yvon Lambert …) qui va l’influencer tout au long de sa vie dans sa recherche artistique.

L’artiste, l’acteur et voyeur
Il suit l’enseignement de Roland Barthes au collège de France. Il pratique la danse sur glace de haut niveau et développe un goût prononcé pour le cinéma et la photographie. Il suit des cours de comédie, rencontre Peter BROOK et des réalisateurs tels Robert BRESSON, Patrice LECONTE, Arthur JOFFE ou James IVORY. C’est au cours « d’une silhouette sur Prêt-à-porter» de Robert ALTMAN, qu’il décide de passer derrière la caméra: Il réalise «Dis-moi» en 35 mm scope diffusé en Italie.

L’œil qui découpe
Sur les conseils de son amie Sofia Coppola, rencontrée à Rome, il se lance dans la réalisation de son deuxième moyen-métrage en scope «Carte bleue» qui sera primé au Festival de Fano et présenté parmi les jeunes talents Fnac au Festival de Cannes. Suivront les séries «Pourquoi j’aime», et «T.K.». La photographie y tient une place essentielle dans les découpes et les cadrages.

Photographie du détail
Au milieu des années 90, il se consacre pleinement à la Photographie : les êtres vivants sont «flashés» pour en ressortir les détails. Il réalise des expositions dans des cadres insolites tel que :
WAIT avec Chayan Khoi dans un hôtel particulier du 17ème siècle – Paris, WINGS au squatt ARTCORE – Paris, SKY au bar LORD/Bringhton, WALKING in the golf of Finland - St Petersboug, ANGEL DONT LIE au PINK PARADISE - Paris. - MOUTH & WORD à la Suite (David GUETTA) – HIPS &LIPS à L’Etoile - Paris ; ELECTROLINKS au QUIN - Paris et ART AS LINK N°1 au CAB – Paris.


Voilée/dévoilée
Daniel BUREN le convainc en 2005 de montrer son «travail global», il prépare «Serial Détails» mêlant photographies, vidéos et arts vivants
Tel un « testeur d’images », il colorise/étire ses « morceaux » de corps sur différents supports (papiers, verres, tissus,plastiques).Il décide d’exposer dans des lieux colorés, récréatifs, où le spectateur se libère naturellement. Proche de Jeff KOONS, il aime «l’art-test» qui ne se prend pas au sérieux. Il se rêve comme un S.I.M (Serial Image Maker). MAZAR vit et travaille entre Paris et Saint Petersboug.

Il prépare LINKS expo/soirée en hommage aux liens conceptuels
Entre lui, son père et 6 autres arstistes célèbres (USA, France, Italie,
Japon)

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